fleursblanches

Petite fleur…

Petite fleur, tu grandis dans mon cœur,
Comme grandit l’amour et la douceur,
Petite fleur, tu m’apportes le bonheur,
Dans un monde de brute et d’horreur.
Tu es là, avec ton sourire, ta joie,
Ta tranquillité, ton romantisme, et ta foi.
Toi, qui est si petite encore,
Toi, qui connais déjà la peur et la mort,
Tu sais combien il est important,
L’amour, qu’on sait partager tout le temps.

Iris GUTFRIED,
pour Lydia, le 21 février 2006.

 

 

OUESTLAFEE

Dans le Jardin des Poètes,
Les légumes sont à la fête,
Il y a une fée cachée dans le château,
Sous le charme, près de la source d’eau,
Les enfants cherchent la porte du trésor,
Ils rêvent de trouver de l’or,
Un magicien est-il caché,
Dans le trou qu’ils ont creusé…

Iris Gutfried,
Le 24 avril 2006.

 


P
ossible invention d’une évasion
Autre regard, réponses, solutions,
Unique, penser sans restrictions,
Savoir, jouir de la libre action
Etre, oublier le paraître, vive l’inspiration !

Iris GUTFRIED
le 25 juillet 2009

 


UN REVE

J’ai rencontré un sage,
Il tenait dans sa main une image,
Il regardait mon visage,
Je lui pris son image,
C’était moi, dans mon miroir,
Moi seul, avec mon pouvoir.
Le sage n’était plus là,
Comme un éclair, il est parti,
Me laissant pantois.
Qu’est-ce qu’il voulait me montrer ?
Quelle vérité ?
Etait-ce un esprit ?

Iris GUTFRIED
le 20 décembre 1998

 

 


Joli petit cahier de poésie

Joli petit cahier de poésie,
Je te redécouvre en ce jour.
Je lis des mots de tendresse,
Des mots d’amour,
Je lis des mots de sagesse,
De joie, d’espérance
Je lis des mots de confiance,
Des mots insouciants de l’enfance,
De cette enfance, innocence…
Je lis des fleurs bleues,
Des couleurs, un clin d’œil radieux,
Je lis des mots affectueux,
Des mots cadeaux,
Des mots très beaux,
Me reviennent doucement des images,
Des souvenirs, des paroles, des visages…
Joli petit cahier de poésie,
Témoin de l’amour d’une tranche de vie,
Tu racontes la vie à l’infini.

Iris GUTFRIED

 


REVE DU BONHEUR

J’ai voulu partager un trésor,
Bien plus important que l’or,
J’ai voulu partager un amour,
Bien plus fort que le jour,
J’ai voulu partager une fleur,
Bien plus jolie que milles couleurs.

J’ai voulu partager mon cœur,
Mais il a perdu de sa saveur,
Comme le vieux sel, il est humide,
Il a plein de traces et de rides,

J’ai voulu partager, donner du bonheur,
Mais quelque part dans mon rêve, tu pleures,
Un amour envolé dans la douceur,
Effacé par l’indifférence et la frayeur.

J’ai voulu partager, faire don pour toi,
D’un peu de soleil précieux, jaillissant en moi,
Triste avec toi, mon cœur pleure,
Il s’envole, mon rêve du bonheur.

Le 26 août 1994
Iris GUTFRIED

 
 
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